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MARIE-JULIE JAHENNY

Prophéties et Avertissements de Dieu à travers Marie-Julie JAHENNY, la stigmatisée de Blain (Vendée - France)

Le sauveur viendra

LE SAUVEUR VIENDRA

Extase du 18 janvier 1881

"Le Sauveur viendra sous la terreur d'une révolution telle que la terre, depuis son commencement, n'en aura jamais vu de semblable..." C'est le ciel qui l'annonce par la bouche de Marie-Julie. Le Ciel, comme preuve, a réduit la pauvre femme dans l'état que l'on sait. Tout autre commentaire serait superflu.

Je vois ces mots passer et repasser dans le soleil :

"Ma parole est éternelle. J'ai promis que ma colère retomberait sur toi, peuple misérable. Toute puissance m'a été donnée ; je la possède éternellement et, dans ma puissance, j'ai fait un jugement sévère. Maintenant je l'annonce à mon peuple, et, quand l'heure sera venue, je le ferai passer au monte entier, de telle sorte que mes paroles soient connues et comprises".

Je lis dans le soleil :

"Mon jugement est juste ; mon regard connaît tout ; mon Cœur révèle tout. Avant que de longs mois se soient écoulés sur toi, France, terre de bénédictions et de menaces, tu auras vu s'accomplir bien des effets de ma puissance éternelle. Un grand nombre des effets que je vais envoyer au monde seront grands en tristesses et en douleurs, plus grands encore en détresse et en ruines.

Toutes les ruines annoncées ne retomberont pas sur toux ceux qui m'abreuvent d'outrages comme au temps de ma Passion. Dans ma sagesse éternelle, j'ai le dessein de conserver la vie à un nombre immense de ces Juifs, qui ont été mes bourreaux meurtriers et blasphémateurs. Je veux les confondre au jour de ma réjouissance ; leur œil impie, pour un nombre multiplié, restera ouvert, car je veux qu'ils voient la force de ma puissance.

Je leur réserve de voir, dans leur œil vivant, l'astre radieux que je ferai sortir de l'exil (le Roi). Ce sera sous un orage épouvantable de feu et de signes de ma colère..."

Je lis encore :

"Pauvre Ninive, les crimes les plus sinistres s'ouvriront sur toi : je les regarderai marcher et, dans ma Justice sévère, je n'arrêterai leur marche qu'après qu'ils auront marché vingt-six jours aux bords, au milieu et aux alentours de la France.

J'arrêterai ces crimes pendant quelques jours, sous des signes plein de terreurs. Mais là, je m'apprête à recevoir les plus infâmes injures, les crachats et l'ignominie. Dans cet arrêt, tous les temples où se célèbre le divin mystères seront dans l'exil..."

Voici ce qui suit :

"Dans cette terreur, tout le monde sera semblable à la fourmi qui sort de sa tanière pour parcourir sa route. Tout le monde sera sous mille coups redoutables à la fois. Des hommes avec leurs armes viendront, de toute parts, se joindre à ce groupe perfide qui, maintenant, conduit les choses avec dérision. Ceux qui étaient présents, quand les martyres de la Commune versaient leur sang en haine de la foi, ces cœurs infâmes n'ont pas, à cette époque, rassasié la haine étrange qui les dévorait. Cette haine mènera plus loin : tout passera sous l'empire d'hommes qui périront misérablement sous les coups de ma colère, ou sous l'envoi de cruelles maladies".

Je lis encore :

"Ces blasphémateurs intrépides vont crier à pleine voix : l'heure joyeuse est près d'éclater au nom de liberté. Si, jusqu'ici, tu as échappé de nos mains teintes de sang, cette fois, peuple de cette patrie, nos forces sont mille fois plus puissantes. Cette fois, tu passeras tout entier, peuple de France, au fil de nos armes tranchantes, sans y échapper".

Je lis :

"Bientôt, en tout lieu où se trouve mon sanctuaire, dans le plus petit coin comme dans la plus grande ville, bientôt va retentir ce cri qui fait frémir ; il va sortir de la bouche de tous ceux qui ont soif de cette grande heure qui va tout effondrer dans le puits d'une mort terrible.

Avant que l'on soit loin de l'heure dont je parle, le grand soulèvement, attendu de jour en jour, préparera son éclat dans un repos apparent. Ce repos, c'est le temps où ils mesurent leurs décisions, en vue de la victoire de la liberté qu'ils veulent prendre. Après l'arrêt que j'ai signalé, ce sera la grande reprise qui sera fort longue. Le mal n'aura plus ni proportion ni mesure".

Dans lu lumière je lis :

"Leur effort aboutira à la réalisation de leurs désirs, mais pour un temps fort court. Une jalousie invétérée se lèvera contre les autres, qui avaient le même désir, et à qui des promesses auraient dû déjà être faites (tenues ?).

La violence de l'orage recommencera sous une grêle épouvantable, sous une pluie torrentielle... Tout cela n'arrêtera pas cette haine indomptable. le fort de la reprise conduira jusqu'au décombre dernier. Il n'y aura plus rien à faire : tout sera fait.

L'Eglise entière sera déserte, mon peuple englouti dans le sang des morts, le Centre (Paris) écroulé sous les signes de ma vengeance... Le royaume entier, jusqu'à ses frontières, sera réduit sous la terreur d'une révolution telle que jamais la terre, depuis son commencement, n'en aura vu de semblable. C'est là que, de ma voix éternelle j'appellerai le Sauveur du royaume. Mon appel sera entendu. Pendant qu'il viendra de l'exil de sa patrie, de grands efforts se feront.

Au centre, ce sera terrible pendant ce temps : les derniers coups jailliront, et ce sera le comble de la terreur. Tout sera désert et dévasté : ce ne sera plus qu'une place sanglante".

Je lis encore :

"Quand le Sauveur franchira l'entrée du malheureux Centre (les portes de Paris), la chaise ne sera pas encore vide (Il y aura encore un gouvernement) : elle sera cernée de milliers de ces infâmes trompeurs, race que, déjà, je ne connais plus".

Il ne reste plus qu'une parole, la voici :

"Dans cette marche douloureuse, le royaume sera entièrement renversé, empoisonné... Mais je guérirai ses plaies ; je lui rendrai une fertilité abondante en toutes choses. Après que le Sauveur sera entré dans son règne béni, je sanctifierai, par d'abondantes rosées, cette terre souillée. La pénitence effacera la trace des pieds de ces impies qui seront tous jetés au fond d'une carrière de malédiction. La pauvre Ninive (la France) n'aura plus de ressources. Celui qui vient fera refleurir ce que le crime va détruire. Mon peuple n'a pas idée de son avenir... mais espérance !"

Repos

Tout ce temps, j'ai demandé au Seigneur, pour nous tous, sa grâce et sa sainte bénédiction. Je remonte au soleil et je lis :

"La mortelle marche sur le royaume qui a tant coûté à sa souveraine Protectrice des cieux, cette marche ne restera pas ensevelie dans ses terres (pas limitée à la France). Comme le soleil qui fait le tour du monde, ainsi cette marche jettera sa terreur sur les frontières étrangères, avec un effroi peut-être moindre que celui du royaume, mais plus long".

Je lis encore dans le soleil :

"L'étranger qui touche la patrie française subira, sans tarder longtemps, les mêmes violences que celle-ci. Il aura la douleur de se voir livré, combattu et envahi par d'autres puissances qui toutes, pour ainsi dire, sont sœurs. C'est toi, puissance d'un roi ambitieux (La riche Allemagne de l'Ouest semble devoir être envahie par des puissances sœurs : Allemagne de l'Est, Pologne, Tchécoslovaquie... (interprétation personnelle de l'auteur du livre cité en référence) qui subiras ce terrible cours. La punition retombera terrible. Tes richesses te serviront peu longtemps car, si un coup fatal t'a déjà menacée, un peu plus tard ce coup retombera pur ne plus te quitter".

Je lis dans le soleil :

"L'Autriche, aussi, sera terriblement menacée par les puissances qui la touchent... par un peuple dur et insensible. Le cœur ne se fait guère compatissant chez ce peuple.

Tout sera ébranlé et, à peine notre royaume à nous sera-t-il en paix depuis quelques heures, que le branle terrible se répandra partout en Italie et dans Rome.

Trois matins consécutifs, au lever du jour, un corbeau noir aux ailes très longues, volant avec beaucoup de bruit (un avion ?) se dirigera vers le palais de celui qui règne en maître dans la Ville Eternelle. C'est très hideux, au teint noir et au souffle empoisonné, ira porter les confidences de plusieurs rois peu éloignés à la puissance sœur de la Ville Eternelle. Deux rois se feront ensemble leurs confidences...

L'Espagne est comptée pour subir des tortures immenses et longues sous la puissance de ces deux réunis. Dans le soleil, ces deux se trouvent en face l'un de l'autre, mais pas dans le même côté : comme au nord et au midi".

Je lis encore :

"Après le passage du corbeau noir trois matins, un cri-élevé, féroce et farouche, retentira partout dans la Ville Eternelle. Celui qui secondera le gouvernement de cette grande ville marchera rapidement, avec tous ses sujets, après avoir accompli partout, comme en France, un mal terrible : ils retomberont sur les autres puissances, en direction de la Belgique. Ce sera une immense invasion de menace et de torture. Ce sujet, qui menace le roi des Belges, est réservé pour une autre lumière de ma puissance".

"Assez pour ce soir, dit le Seigneur, Mes enfants, toute la terre branle. Partout des menaces se suivront et ne s'attendront pas pour se succéder. Plusieurs puissances se trouveront aux prises, ensemble, sous l'invasion étrangère qui fera beaucoup de mal. Reposez-vous. Je vous bénis. Priez, priez, car les temps sont proches : la douleur se lèvera tout à coup, comme le nuage au firmament".

Pax Vobis !

Paroles de DIeu.

 

Note. Vers la fin de la vie de Marie-Julie, mademoiselle Trioullier voulant savoir, fit cette remarque insidieuse à la stigmatisée :

"Marie-Julie, la France est si coupable que je pense qu'en punition le Roi annoncé ne viendra pas.

- SI, si, répondit-elle vivement, il vient, il vient ben".

Et, vexée de s'être laissé prendre, Marie-Julie se tut. Elle n'aimait pas faire de confidences au sujet des révélations qu'elle avait reçues.

 

"CRIS DU CIEL sur le temps qui vient"

P. Roberdel - Editions Résiac, avec leur accord

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