Le châtiment et les châtiments - Menaces et signes

MENACES ET SIGNES

Notre Seigneur dit :

"Saint Michel, parcours la France jusqu'à ses frontières, Puissance étrangère, reste calme, ne viens pas ; j'arrête tes pas, je te confondrai quand tu seras prête à mettre le pied sur la terre de France.

Châtiments, enfermés comme une barrière, sortez. Sortez, pluie de feu, tonnerre et flammes ! Grêle de feu, va sur la terre moissonner les ennemis de mon Sacré-Coeur ; jette l'effroi et la consternation partout.Jje veux détruire l'iniquité. Je dépeuplerai la France et je la repeuplerai de nouveau.

... Préparez-vous, mes enfants, préparez-vous. A chaque instant, attendez-vous à cette heure terrible. Je vous protègerai".

La Fraudais, 9 janvier 1878

Note. Il y a contradiction apparente entre la France envahie et libérée par le Roi - c'est trop clairement exprimé - et ce passage qui annonce que le Seigneur arrêtera les pas de la Puissance étrangère, quand elle sera prête à mettre les pieds sur la terre de France.

Il y a une explication plausible :

Quand la France se sera libérée elle-même de ses envahisseurs, la Puissance étrangère ne déciderait-elle pas de la remettre sous son joug, en décidant une nouvelle invasion ? C'est là que le ciel l'arrêterait par le châtiment universel, châtiment dont ce qui resterait de mauvais en France aurait aussi sa part ?

C'est une explication personnelle. D'autres découvertes, dans les extases inexplorées, éclaireraient peut-être ce problème.

Les prophéties de la Fraudais, éditions Résiac avec leur accord

http://www.resiac.fr/Apparitions---Mystique---Propheties/707-propheties-de-la-fraudais.html

"Quand la terre semblera éclater en prodiges, dit Saint Benoît, quand, de toutes parts, on annoncera des merveilles ; quand on entendra des voix retentir au milieu du monde, Dieu manifestera sa gloire sur terre. Pensez devant ces faits, et croyez devant les inventions de l'ennemi, que l'heure arrêtée par Dieu n'est pas loin de vous.

Voilà l'une des marques que Dieu a données et qu'il renouvelle encore : tous ces signes marqueront l'approche d'une réjouissance et d'une grande tristesse. Les évangélistes ont aussi marqué ces faits comme le signal du jugement général. Eh bien ! il se passera un jugement avant ce dernier, jugement de justice et de colère en même temps que de résurrection glorieuse dans la paix et l'espérance pour les amis de Dieu.

Pourquoi ne veut-on pas voir, aujourd'hui, la Justice de Dieu qui, à chaque instant vous visite ?

- Je ne sais pas, bon saint.

- C'est que, poussé par l'orgueil, on veut satisfaire sa méchanceté et sa liberté et qu'on ne veut pas céder ses droit. Voilà ce qui presse Dieu de punir prochainement".

La Fraudais, 26 août 1878